samedi 17 mars 2012

Le plus gros dégât...

J'aurais tout aussi bien pu titrer "Le plus gros des gars", puisque je parle pour moi, mais bon... Après un bon mois de pause de grimpe pour des raisons diverses et (a)variées, nous avons pris quelques heures pour aller faire une mini séance au Glésy. Aïe les doigts...

La grimpe, c'est ingrat. Le seul truc plus ingrat que je connaisse, c'est le vélo, mais bon... les cyclistes sont masochistes ! Bref, la grimpe ça marche comme ça : tu grimpes et tu t'entraînes des mois pour arriver à gagner deux fois rien, mais si tu arrêtes deux heures tu redeviens nul ! Je schématise à peine, hein...



Après une pause depuis un mois environ, la reprise s'est faite dans un spot adapté à ce type de situation : le Glésy. Pour ma part ça a été rapide : après deux longueurs, mes doigts ont rendu les armes, la faute à un épluchage en règle de la peau.

Brouté à mort en deux longueurs... Pfffff !
Que voulez-vous y faire, on va pas grimper avec des moufles ! Rikiki junior en profite donc pour faire une longueur ou deux...

Un peu de grimpisme pour mon Junior

Maman, elle, va profiter de la collante mais d'un court créneau pour enchaîner en série les voies du secteur, dont "Le Jihad" qui est toujours la plus belle voie du mur, avec des mouvements sympas et assez déroulants, pas de pas de bloc sordide et une jolie variété de préhensions et de styles.

Delphine dans "Le Jihad, 7b.
En tous cas, ce petit secteur est toujours aussi sympa et pour une fois les voies n'étaient pas trop sales pour une reprise printanière. D'ailleurs, nous n'étions pas seuls, deux autres cordées ayant fait le choix d'éviter le cagnard du jour...
Bon allez, faut s'y remettre si on veut perfer un peu mieux ce printemps...

Un grimpeur plante un run dans le 7b de "Let's go Glésy".
La cascade du bas booste bien en ce moment...

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