L'entrée (enfin une des entrées possibles...)
Dès qu'on passe la porte, on tombe sur cette vue sur le parc
Sur la droite, un joli moulin
Un cours d'eau serpente pour que cygnes et canards s'y promènent
Le parc est entretenu mieux que mon petit terrain, les jardins à la française y sont toute l'année somptueux, les pelouses mieux "coiffées" que moi !
Le château, théâtre il y a plus de deux siècles de bien des faits historiques pour la nation française...
Il y a aussi un vaste lac dans le parc, dans lequel vivent une foultitude d'énormes poissons... Quand je dis énormes, c'est vraiment énormes, mais malgré tout pas faciles à photographier... Cherchez bien !
Après un petit moment dans le parc, j'ai pris le chemin du retour en passant par Uriage, mais l'appel de la route et de la balade a été plus fort que moi et j'ai donc fait école buissonnière en montant à Chamrousse, station de ski célèbre pour avoir accueilli les Jeux Olympiques de 1968 et vu les fameuses médailles de Jean-Claude Killy. Montée vers les nuages et le froid, avec passages "terreur" de plusieurs centaines de mètres couverts d'une épaisse couche de gravillons fraîchement déposés, arrivée à Chamrousse dans la mouscaille et redescente vers Grenoble par "l'autre" route, celle qui ramène vers Uriage. Purée de poix, bruine puis pluie à la limite de la neige...
Quelle aventure, je suis parti comme un âne, juste en jean... Tant pis, ce n'est que de l'eau et du froid, je ne vais pas en calancher non plus... Rentré maison, petit thé chaud, CR ici présent pour les copains et départ dans 20 minutes pour allez chercher mon zoupiot chez la nounou... Elle est pas belle la vie ?
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