Comme je n'aime pas rester sur un échec et que le Galibier s'est refusé à moi le week end dernier, j'y suis retourné aujourd'uii avec la certitude que c'était ouvert.
Je n'ai pas été le seul à avoir cette idée, c'était la foule des motards, sur les deux versants ! Il faut dire que c'est indéniablement à cette époque que je le f-préfère ce col de montagne, avec encore cet aspect sauvage conféré par la présence de la neige. Il faut bien profiter du paysage, mais surtout aussi ne pas quitter la route des yeux. D'abord parce que de nombreuses pierres roulent encore des talus, mais aussi parce que les marmottes traversent sans prévenir ! J'ai vraiment failli me mettre par terre en en évitant une de justesse alors qu'elle se jetait sous ma roue avant pour traverser la route, et ceci à quelques dizaines de mètres près au même endroit qu'une autre marmotte il y a deux ans. Si ça se trouve, c'était la même et elle m'en veut !
De l'escalade sous toutes ses formes (falaises, tests matos) et des coups de coeur en lien avec l'univers de la moto
samedi 28 mai 2016
dimanche 22 mai 2016
Trois p'tis cols et puis s'en va
Bon d'accord, la météo est moins belle qu'hier. D'accord, il y a du vent à décorner les cocus. D'accord, je pars vers le col du Galibier sans même être sûr qu'il est ouvert... Et alors ? C'est pas grave, ce n'est pas la destination qui importe, mais le voyage !
Malgré les indications récurrentes qu'il n'est pas possible de passer vers Briançon après le barrage du Chambon, la route de secours remplit son office et permet de poursuivre vers La Grave et le Lautaret. Je fais malgré tout une halte rapide au barrage et discute le bout de gras avec un couple de motards allemands qui enquillent les milliers de bornes. Ils semblent étonnés que je roule sur une grosse moto BMW et me signalent en rigolant qu'ils sont bavarois... mais n'aime pas du tout les BMW !
Malgré les indications récurrentes qu'il n'est pas possible de passer vers Briançon après le barrage du Chambon, la route de secours remplit son office et permet de poursuivre vers La Grave et le Lautaret. Je fais malgré tout une halte rapide au barrage et discute le bout de gras avec un couple de motards allemands qui enquillent les milliers de bornes. Ils semblent étonnés que je roule sur une grosse moto BMW et me signalent en rigolant qu'ils sont bavarois... mais n'aime pas du tout les BMW !
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