En ce début
d'aprem, un peu à l'improviste, je m'équipe full cuir et file au garage
sortir le Crosstourer. Direction deux beaux cols alpins qui viennent
d'ouvrir récemment : le Galibier et la Croix de fer.
Il fait une chaleur à mourir, on se croirait en plein été. Plus de 32° au départ de Grenoble ! Malgré mes craintes quant au monde sur la route durant ce week end à rallonge, ça roule plutôt bien. De fait, je me trouve vite rendu au barrage du Chambon que je trouve en réfection complète et donc avec un lac quasiment vidé.
Prendre de l'altitude apporte un tout petit peu de moins chaud (on ne parlera pas de fraîcheur...). Je parviens donc rapidement au col du Lautaret où je trouve quelques groupes de motards faisant halte, dont un avec une Crosstourer DCT blanche dont je salue bien sûr le pilote. La vue sur les Cerces encore un peu enneigées est toujours aussi saisissante.
Les huit kilomètrès de montée au Galibier sont un régal. Il est juste dommage que je n'ai pas eu la caméra pour filmer les quelques grosses marmottes qui ont littéralement traversé la route devant mes roues. Une grande première pour ma part. On sent que la route bient juste d'ouvrir et que les animaux sauvages n'y sont pas encore habitués...
Au Galibier, je fais la pause photo de rigueur qui me permet de discuter avec quelques savoyards sympa (dont le proprio de la Crosstourer). Le panorama est toujours aussi fabuleux, agrémenté encore en cette saison pas la présence de neige.
Au col, c'est carrément la cohue entre les autos, les cyclistes et les motards en très grand nombre. Je ne m'attarde pas trop et prend la roue des quatre Savoyards suscités pour descendre vers la vallée de la Maurienne. A St Jean de Maurienne, je fais le plein d'essence en même temps qu'une horde motarde hétéroclite.
Direction maintenant le col de la Croix de fer. J'y étais déjà venu il y a trois ans mais en arrivant par l'autre côté. En fait, je n'ai jamais fait cette route qui se révèle être un vrai régal, avec une vue imprenable tout le long sur les aiguilles d'Arves. La dernière partie entre St Sorlin d'Arves et le col est carrément superbe. Et là encore les marmottes sont omniprésentes : je les vois à quelques mètrès de la route et quand je ne les vois pas, je les entends avec leur sifflets si caractéristiques...
Juste une pause au troquet du col pour me désaltérer et j'enquille la descente vers Allemont. Là encore, les paysages en cette saison sont fabuleux, bien moins "cuits" qu'en plein été. Les torrents coulent à flot, les alpages sont verdoyants. J'en profite d'autant mieux que la route faite dans ce sens donne une meilleure vision des choses qu'à la montée. Le parcours est sinueux à souhait et un groupe de trois autres motards me sert de lièvre sur la route. Disons que cela avance à "bon rythme"...
Revenu en vallée de la Romanche, la chaleur se refait pesante. Heureusement, l'ombre commence à s'imposer et calmer le jeu. Un dernier crochet par Vizille, Vaulnaveys et Brié pour éviter l'autoroute, et me voici rendu à la maison après une bien belle après-midi.
Itinéraire complet : http://goo.gl/maps/Xw9x2
Il fait une chaleur à mourir, on se croirait en plein été. Plus de 32° au départ de Grenoble ! Malgré mes craintes quant au monde sur la route durant ce week end à rallonge, ça roule plutôt bien. De fait, je me trouve vite rendu au barrage du Chambon que je trouve en réfection complète et donc avec un lac quasiment vidé.
Prendre de l'altitude apporte un tout petit peu de moins chaud (on ne parlera pas de fraîcheur...). Je parviens donc rapidement au col du Lautaret où je trouve quelques groupes de motards faisant halte, dont un avec une Crosstourer DCT blanche dont je salue bien sûr le pilote. La vue sur les Cerces encore un peu enneigées est toujours aussi saisissante.
Les huit kilomètrès de montée au Galibier sont un régal. Il est juste dommage que je n'ai pas eu la caméra pour filmer les quelques grosses marmottes qui ont littéralement traversé la route devant mes roues. Une grande première pour ma part. On sent que la route bient juste d'ouvrir et que les animaux sauvages n'y sont pas encore habitués...
Au Galibier, je fais la pause photo de rigueur qui me permet de discuter avec quelques savoyards sympa (dont le proprio de la Crosstourer). Le panorama est toujours aussi fabuleux, agrémenté encore en cette saison pas la présence de neige.
Au col, c'est carrément la cohue entre les autos, les cyclistes et les motards en très grand nombre. Je ne m'attarde pas trop et prend la roue des quatre Savoyards suscités pour descendre vers la vallée de la Maurienne. A St Jean de Maurienne, je fais le plein d'essence en même temps qu'une horde motarde hétéroclite.
Direction maintenant le col de la Croix de fer. J'y étais déjà venu il y a trois ans mais en arrivant par l'autre côté. En fait, je n'ai jamais fait cette route qui se révèle être un vrai régal, avec une vue imprenable tout le long sur les aiguilles d'Arves. La dernière partie entre St Sorlin d'Arves et le col est carrément superbe. Et là encore les marmottes sont omniprésentes : je les vois à quelques mètrès de la route et quand je ne les vois pas, je les entends avec leur sifflets si caractéristiques...
Juste une pause au troquet du col pour me désaltérer et j'enquille la descente vers Allemont. Là encore, les paysages en cette saison sont fabuleux, bien moins "cuits" qu'en plein été. Les torrents coulent à flot, les alpages sont verdoyants. J'en profite d'autant mieux que la route faite dans ce sens donne une meilleure vision des choses qu'à la montée. Le parcours est sinueux à souhait et un groupe de trois autres motards me sert de lièvre sur la route. Disons que cela avance à "bon rythme"...
Revenu en vallée de la Romanche, la chaleur se refait pesante. Heureusement, l'ombre commence à s'imposer et calmer le jeu. Un dernier crochet par Vizille, Vaulnaveys et Brié pour éviter l'autoroute, et me voici rendu à la maison après une bien belle après-midi.
Itinéraire complet : http://goo.gl/maps/Xw9x2
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