Bref, à mon arrivée, trônaient dans le showroom toute une fieffée brochette de Triumph estampillées R, toutes dans une jolie livrée blanche avec des touches de noir et de rouge : deux Speed, une Street et deux Daytona. Il y a bien sûr foule autour desdites Speed, et je prends donc patience en éclusant quelques godets... Fallait pas m'inviter !
Ayé, la place se libère, je peux enfin chevaucher puis shooter un peu toutes ces belles bestioles. Je commence par la Daytona. Bin comment dire ? Je ne me vois pas faire plus de 10 bornes là dessus La selle est en pur parpaing et d'être resté 2 minutes dessus j'ai les poignets défoncés. Faut vraiment attaquer et/ou rouler sur circuit pour ce genre de machine !
Vient le tour de la Street. Toujours aussi légère, on la relève de sa béquille en un rien, c'est compact, position instinctive. Ca sent le vrai jouet à virolo... En revanche, moi qui suis habitué aux grosses motos, je trouve qu'elle manque de volume... C'est pourtant ce qui doit être sa force lorsqu'on l'emmène vite...
Je m'offre un petit intermède en allant zieuter quelques autres machines présentes dans la pièce, comme ce joli travail sur base d'un Scrambler...
Ou encore cette indémodable Thruxton...
Ou encore cette prépa sur base de Speed Triple, avec ligne basse Zard full barouf !
Enfin la Speed R ! D'entrée de jeu, c'est sur celle-ci que je me trouve le mieux. Le réservoir plus imposant, le volume général de la machine... je m'y sens comme chez moi ! Reste un problème de taille : le tarif : avec ses quelques options (capot de selle, feu arrière led et trois autres conneries inutiles donc totalement indispensables), on arrive à 16.100 euros ! Ca commence à piquer pour un roadster de série... Bref, ce R ne sera pas pour moi, mais il m'a au moins confirmé dans l'envie de faire, à l'occasion, l'essai d'une Speed "classique" !
Quelques images de cette Speed R
Du Brembo et du Öhlins en pagaille...
Du carbone à gogo...
Et ce monobras qui dégage la superbe roue arrière
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